18 km - mercredi 23 septembre 2015
Petit
changement de parcours. Etant donné le
mauvais temps, Colette préfère descendre en bus jusqu’à Biasca et moi, je renonce
à la descente scabreuse dans les rochers depuis Sobrio à Pollegio. Dommage de
manquer la visite de l’église de Sobrio… on reviendra !
Je
prends une petite route de montagne que m’indique le postier en tournée. Pentue
dans les rochers, elle amène en 1 heure dans la vallée. Je suis dans un bon jour et les km défilent rapidement.
Le temps est vraiment moche. On ne voit guère les montagnes, par contre le
bruit étourdissant de l’autoroute est bien présent.
Je
marche ensuite sur la route cantonale via Giornico, Bodio, Pollegio jusqu’à
Biasca. Amusant, à la hauteur de Giornico, le car postal transportant Colette me dépasse, 200 m avant
l’arrêt mais je ne vois que du feu. On se manque de justesse.
Marche accélérée, puis pause café à Bodio. Après à peine 3 h de marche, je vois déjà les prémisses de Biasca … bonne performance de vitesse. La vieille bourgade de Biasca en vue, je contacte Colette par sms pour savoir dans quel hôtel elle se trouve. Elle s’est réfugiée au plus près de la gare, à l’hôtel de la Poste. Encore 20 bonnes minutes pour y arriver … et trouver la porte de l’hôtel fermée ! J’insiste jusqu’à ce que le cuisinier ouvre enfin, m’indique la chambre no 3 où est arrivée una donna bionda (c’est vrai, Colette est devenue blonde sous le soleil d’été) Une surprise m’attend: à la porte, un noir somalien laissant entrevoir d’autres africains derrière lui. Pas si grave, car j’ai retrouvé Colette, porte verrouillée, seule à la chambre no 5!
Marche accélérée, puis pause café à Bodio. Après à peine 3 h de marche, je vois déjà les prémisses de Biasca … bonne performance de vitesse. La vieille bourgade de Biasca en vue, je contacte Colette par sms pour savoir dans quel hôtel elle se trouve. Elle s’est réfugiée au plus près de la gare, à l’hôtel de la Poste. Encore 20 bonnes minutes pour y arriver … et trouver la porte de l’hôtel fermée ! J’insiste jusqu’à ce que le cuisinier ouvre enfin, m’indique la chambre no 3 où est arrivée una donna bionda (c’est vrai, Colette est devenue blonde sous le soleil d’été) Une surprise m’attend: à la porte, un noir somalien laissant entrevoir d’autres africains derrière lui. Pas si grave, car j’ai retrouvé Colette, porte verrouillée, seule à la chambre no 5!
Le
repas du soir, cuisine 200% italienne avec poissons de mer frais arrivés le
jour-même, est succulent. Ces délices compensent la médiocrité de la chambre et
l’ambiance glauque du lieu. Le patron italien, assis derrière son comptoir, déglutine
en nous regardant manger. Il a visiblement envie de partager le repas avec nous!
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